Dans le cadre de sa fiche-projet Slow Life – Prenons notre temps, le GAL Nov’Ardenne a mandaté l’ASBL Meneurs pour étudier la faisabilité de l’utilisation du cheval de trait par les communes pour certaines tâches. Cette étude, menée en collaboration avec les cinq communes du territoire, montre que la traction animale pourrait constituer une alternative à certaines tâches : entretien de chemins, gestion de zones naturelles sensibles, travaux légers en forêt, collecte de déchets ou encore interventions dans les zones humides.
Les échanges avec les élus et les services techniques des communes ont permis d’identifier des opportunités concrètes ainsi que les freins liés à l’organisation, à la logistique ou au budget. L’étude propose également des comparatifs précis entre solutions motorisées et traction animale, des fiches techniques et un répertoire de prestataires qualifiés pour faciliter la mise en œuvre.
Parmi les communes rencontrées, Libin a montré un intérêt particulier pour l’entretien de ses zones de captage d’eau, des sites sensibles où l’usage de machines thermiques est délicat. Sur base des résultats de l’étude, la commune a décidé d’aller plus loin en lançant une phase test, afin d’évaluer concrètement l’utilisation du cheval de trait pour ces interventions spécifiques.
Une première étape concrète qui pourrait ouvrir la voie à d’autres applications sur le territoire.
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